tag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post2144877676628035389..comments2023-05-08T02:34:31.153-07:00Comments on La Bibliothèque hantée: Jean-Jacques Samson et la Barbarie journalistiqueCoupalhttp://www.blogger.com/profile/14839226309394850656noreply@blogger.comBlogger28125tag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-16671456346624070602013-02-24T00:46:00.690-08:002013-02-24T00:46:00.690-08:00Mais vous faites une distinction entre la culture ...Mais vous faites une distinction entre la culture et la civilisation. Moi je fais plutôt une distinction entre les différents modes de pensées. La langue française nous apporte une certaine vision du monde, bien sûr il faut qu'elle soit ancrée dans ses origines pour lui donner une certaine profondeur. Pour moi la pensée française dépasse toutes ses particularités qu'elles soient marseillaises, bretonnes , normandes, québécoises etc. Luc Grégoirehttps://www.facebook.com/luc.gregoire.100noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-50337094804107703332013-02-22T08:43:55.681-08:002013-02-22T08:43:55.681-08:00La culture française - et je ne parle pas non plus...La culture française - et je ne parle pas non plus de «civilisation» française - est une «paroisse» de la civilisation occidentale qui partage une même souche archaïque linguistique, l'indo-européen, véhiculé à travers des vagues successives de migrants «barbares» venus des steppes asiatiques. Les plus vieilles vagues datent du 3e millénaire av. J.-C. Parmi celles-ci, nous trouvons les Achéens qui donneront les Grecs; les Étrusques et les Latins qui donneront les Romains. Ensemble ils formeront la civilisation hellénique. D'autres groupes, les Celtes, les Ibères, les Germains, tout en comportant des structures langagières apparentées recevront des conquérants romains l'écriture et s'assimileront. Ces variantes indo-européennes et les langues vernaculaires qui se sont développées au Moyen Âge donnent la variété des langues actuelles. À la fois «universelles» et «singulières», elle sont la base de la civilisation à laquelle, Français comme Québécois, Britanniques comme Canadiens Anglais, Américains comme Allemands appartenons tous.<br /><br />Le terme de culture, issu de l'anthropologie et de l'ethnologie et celui de civilisation issu de l'histoire et de la philosophie ont pour but d'éliminer les racismes. À ce compte, le métissage actuel n'est pas original et tout au long de son histoire, la langue française - et cela, Michelet le reconnaissait déjà au XIXe siècle - est une langue de métissages alors que le nationalisme subséquent a créé l'idée d'une culture fermée sur elle-même. Une telle attitude a rejailli sur le chanoine Groulx qui demandait au bureau de topographie de la Province de Québec de changer tous les noms amérindiens des rivières et des lacs en des noms français afin de nier notre propre métissage avec les autochtones et nous identifier comme des descendants d'une race pure. Il y a des relents de ce refus du métissage culturel nord-américain dans ce que vous écrivez et je ne peux y souscrire - pas plus que le bureau topographique de Québec d'ailleurs!<br /><br />Là où je suis pleinement d'accord avec vous, c'est la nécessité objective de remonter au-delà de 1534 dans notre apparentement avec l'histoire de France. Cette histoire est notre «Québec préhistorique» et beaucoup de nos emblèmes et symboles (dont le drapeau du Québec) proviennent des emblèmes médiévaux. De Vercingétorix à Henri IV, nos ancêtres québécois participaient en tant que Français à une histoire qui peut donner une richesse nouvelle à notre identité québécoise en Amérique du Nord et surtout dans le monde multimédia (Roberval, le sponsor de Jacques Cartier qui l'accompagna dans son troisième voyage mourut assassiner, parce que protestant, lors des Guerres de Religion, guerre qui a retardé d'un demi-siècle la colonisation française.)<br /><br />Nous ne sommes pas nés de la cuisse de Jupiter, c'est un fait mais la Barbarie, c'est précisément de contribuer à l'oubli pour ne se concentrer que sur le présent, ce qu'il y a d'immédiat à détruire : le penser, la langue, les valeurs éthiques et esthétiques, surtout la conscience critique qui permet d'utiliser et d'équilibrer nos sentiments et nos humeurs. En cela, nous formons une culture vraiment différente de celle de la France - demandez aux Français venus vivre au Québec depuis ces dernières années -, et ce n'est pas qu'une question de compréhension linguistique.Coupalhttps://www.blogger.com/profile/14839226309394850656noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-47347814079153481942013-02-22T08:26:08.697-08:002013-02-22T08:26:08.697-08:00J'aime bien que vous m'exprimiez votre dés...J'aime bien que vous m'exprimiez votre désaccord, cela permet d'éclaircir ce que je peux laisser d'embrouiller dans ma réponse. Vous parlez des dialectes, je serais évidemment en contradiction avec ma propre «vision» de l'Histoire si je pensais que le Québec est né de lui-même, ce qui est la vision véhiculée dans le système d'éducation et les nationalistes. Si on évoque «nos ancêtres les Français», c'est pour les expédier dans l'oubli aussi vite, alors que pour des Français, évoquer «nos ancêtres les Gaulois», c'est pour réintroduire l'avant-France dans la France contemporaine, une sorte de «France préhistorique». Pour des raisons idéologiques sans doute, mais aussi, au niveau de l'imaginaire, afin de donner un sens de l'unité à l'histoire nationale, ébranlée par l'ignorance qui se propage partout en Occident et le phénomène politico-économique de l'unité européenne.<br /><br />Parler de «civilisation québécoise» comme on le faisait dans les années 70 n'a aucun sens, mais parler de culture québécoise, en tant qu'un support d'une «paroisse» nationale occidentale, c'est hautement appropriée, la culture québécoise n'est pas la culture française, ni dans ses modes d'expression (y compris la langue), ni dans ses valeurs, ni dans ses comportements de civilité.<br /><br />L'abandon du Canada par le gouvernement royal dès le traité d'Utrecht (1713) confirmé par la Cession de 1763 au profit des îles des Antilles nous a coupé de l'évolution de la culture française qui a été profondément modifiée par la politique linguistique de la Révolution puis terminée par l'uniformisation dans les rangs de l'armée lors de la Grande Guerre de 1914-1918. Les dialectes régionaux, les cultures locales, se sont progressivement intégrées à la culture du bassin de l'Île de France. Notre langue française s'éloignait de plus en plus de cette utopie du Français international, une sorte d'espéranto français (sic!).Coupalhttps://www.blogger.com/profile/14839226309394850656noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-51704444728806241182013-02-22T00:55:21.497-08:002013-02-22T00:55:21.497-08:00Excusez-moi mais je suis un peu en désaccord avec ...Excusez-moi mais je suis un peu en désaccord avec vous au sujet de votre vision de la culture "québécoise". Le Québec n'est pas né de lui-même, il a un passé très riche. Vos propos me font un peu penser à un certain Léandre Bergeron et à ses semblables comme Michel Tremblay et Victor Lévy Beaulieu. Pour moi la culture québécoise n'a pas beaucoup de sens, tout comme la culture étasunienne d'ailleurs. Je préfère de beaucoup les termes de culture française en Amérique ou de culture anglaise en Amérique. Personnellement je ne suis pas très friand de notre culture régionale mise à part quelques exceptions et heureusement il me semble que ces exceptions se font un peu plus nombreuses... Trop de québécois vivent comme si leur passé n'existait pas. Ils sont tout droit sortis de la cuisse de Jupiter! Pour moi la culture française est un tout, il ya ses différentes composantes , ses différents régionalismes. Ce n'est pas la culture québécoise qui a forgé ma pensée mais celle beaucoup plus lointaine de l'autre côté de l'atlantique. Enseigner notre littérature locale c'est bien , mais enseigner la littérature française , notre raison d'être c'est mieux!Luc Grégoirehttps://www.facebook.com/luc.gregoire.100noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-57813505751660012712013-02-21T16:11:23.594-08:002013-02-21T16:11:23.594-08:00Il y a des différences structurelles, surtout au n...Il y a des différences structurelles, surtout au niveau des rapports économiques, entre la féodalité et le capitalisme, car si les deux mots signifiaient la même chose, l'un d'eux n'aurait pas à exister. Mais je n'entrerai pas dans ces technicalités. En fait, ce qui survit le mieux de la féodalité dans nos sociétés, en marge du capitalisme moderne, c'est la mafia. Le parrain est un véritable «suzerain», ses clients des vassaux et tout en bas des serfs qui font rouler les magouilles. La présente commission Charbonneau est une entreprise capitaliste visant essentiellement à dénicher et à condamner les féodaux qui minent les règles financières des infrastructures socio-économiques qui faussent le mythe du libre marché et de la «saine» concurrence.<br /><br />Les Barbares détruisent une civilisation. Ils prennent les valeurs d'une civilisation et les retournent contre elle. Ce faisant, ils entraînent un «rapetissement» de ses valeurs et de ses institutions. L'empereur devient un roi, le pontife un pape, l'ordre équestre une chevalerie. Ainsi, Michel David porte-t-il une version rétrécie du rêve de Henri Bourassa, même si je ne classerais pas M. David parmi les Barbares, mais je ne peux pas dire que tout le bureau de direction du «Devoir» échappe à ce rapetissement. <br /><br />Une civilisation meurt parce qu'elle se porte à elle-même les coups qui la font tomber. L'anti-intellectualisme est une guerre menée à l'esprit, à la pensée critique, à la remise en question des fondements déphasés et le résultat est l'ouverture de postes d'intelligence à des gens qui n'ont pas la capacité de les assumer. L'historien Tacite a assisté à un phénomène semblable à Rome, lors de l'agonie de la civilisation hellénique. Et de génération en génération, on voit le processus s'accélérer jusqu'à ce qu'il atteigne un tel niveau que l'on ne peut plus se cacher la vérité. Alors naissent des Antiquités tardives, des cultures post-modernes, etc. Ces tentatives de ressourcer la Civilisation arrivent plutôt trop tard que tôt et leurs effets sont impuissants à redresser la situation. Voilà les Barbares comme Samson qui tiennent la place qui fut jadis occupée par des Félix-Gabriel Marchand ou des Henri Bourassa.<br /><br />Les révoltes comme les présences migrantes ne font qu'achever le travail que les minorités dominantes établies ont entrepris et qui les ont conduites à leur propre fin. C'est un processus lent et souvent laborieux et violent, car la résistance à la mort éveille les derniers sursauts qui se concrétisent en saccage, aussi bien par les partisans d'un nouveau système d'organisation civilisationnel que par la réaction autoritaire qui procède par des actions répressives. Le communisme soviétique et le fascisme ont été les premières démonstrations de ce rapport entre la révolte et la répression. De cette confrontation naîtra donc une nouvelle civilisation basée sur des systèmes nouveaux, des métissages plus ou moins harmonieux mais que le temps finira par inscrire dans les pensées, les valeurs, les cultures. C'est à ce type de charnière que nous arrivons et qui, contrairement aux rêves des dominants, empêche de revenir sur nos pas. Coupalhttps://www.blogger.com/profile/14839226309394850656noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-3911857512107307912013-02-21T13:04:31.011-08:002013-02-21T13:04:31.011-08:00Excellent texte M. Coupal
Je partage entièrement ... Excellent texte M. Coupal<br /><br />Je partage entièrement votre point de vue et j’ajouterais que le système capitaliste anglo-saxon est fondamentalement un système féodal et qu'inévitablement nous sombrons collectivement dans ce que certains qualifient de Moyen-Âge anglo-saxon, un âge ou nos ploutocrates se sont substitués aux aristocrates d'hier, eux, la nouvelles classes des battants. On le voit de plus en plus dans les pays émergents comme le Brésil et même aux USA avec les « gated communities », ces communautés entourées de murs afin de protéger les bons bourgeois de la menace extérieure que représente pour eux le flot grandissant des nouveaux gueux. La communauté fermée, symbole du capitalisme éhonté est en fait l'incarnation moderne du castel d'hier. Qu'est-ce que le Moyen-âge sinon que l'avènement des barbares au détriment de la civilisation romaine, déclinante certes, mais au moins les romains construisait des aqueducs et des égouts, technologie que nos barbares germains (ancêtres des anglo-saxons) n'ont pas jugée utile et qu'il nous aura fallu 1200 ans avant dans redécouvrir. Contrairement à la plupart des historiens qui essaient depuis des années de nous dorer la pilule médiévale, un âge dont je comprends l’intérêt comme objet d’étude mais qui n’en reste pas moins qu’une régression en termes civilisationnel, et cette régression revient en force aujourd’hui et ses agents comme Samson, ne peuvent que continuer à vomir leur fiel sur ce qu’ils n’ont jamais eu et qu’ils n’auront jamais, une culture dépassant leur simple avidité pour le matériel et leur stricte vision utilitariste de la société. Regarder la liste des « bons » défilée par Samson , des ingénieurs, des médecins, des avocats, pour les barbares comme Samson, seuls ceux qui les soignent, construisent les routes sur lesquels ils circulent ou encore qui débloquent leur toilette trouvent grâce à leurs yeux car ils leurs apportent quelque chose de concret et d’immédiat dans l’assouvissement de leurs besoins, embourbés qu’ils sont dans leurs mesquinerie et leur veulerie morale. Si ce n’était que des barbares comme Samson, l’humanité serait probablement trop conne pour envisager même de peindre des animaux sur le plafond des grottes que nous habiterions certainement encore.<br /><br />Sylvain Lavoie<br /><br />Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-182989121702080042013-02-20T20:51:38.846-08:002013-02-20T20:51:38.846-08:00Le poète T. S. Eliot a dit:
This is the way the wo...Le poète T. S. Eliot a dit:<br />This is the way the world ends<br />This is the way the world ends<br />This is the way the world ends<br />Not with a bang but a whimper<br /><br />L'assimilation d'un peuple ne s'achève pas par un cri, mais par une plainte. Et pour se plaindre, nous avons un assez bon sac de justifications, bonnes ou mauvaises. Étienne Parent écrivait ce passage lors de la discussion qui se tenait à Londres, suite au Rapport Durham, et qui préparait la rédaction de l'Acte d'Union de 1840 dont l'objectif avoué était l'assimilation de la population francophone du Canada. Et il n'est pas sûr que le libéral Parent n'ait pas souhaité, secrètement, cette fin.<br /><br />C'est ce qui étonne beaucoup d'Américains qui, observant l'histoire du Canada et du Québec, se demandent comment l'assimilation ne s'est-elle pas encore accomplie. On dit que la Confédération, par son partage des pouvoirs, a annulé les effets délétères de l'Acte d'Union de 1840. C'est en partie vraie. Mais en partie seulement. L'autre partie résidait dans la foi quasi religieuse dans la langue française comme principal véhicule de la foi catholique sur un continent anglo-saxon et protestant. Non pour nous revendiquer de la France laïque et républicaine, mais de la France d'Ancien Régime, autoritaire et monarchique.<br /><br />Mais que représente la spécificité de la langue française en Amérique du Nord aujourd'hui? Un exotisme pour les touristes? Une fierté sans effort puisque «bue avec le lait maternel»? Une opiniâtreté à ne pas s'angliciser malgré les efforts que l'école fait pour faire de nous des bilingues à la naissance? Une langue secrètement haïe parce qu'elle fait de nous des colonisés, des citoyens de deuxième zone, un anachronisme dans un Canada harperien? Une raison afin de permettre aux anglophones du Canada de s'identifier par la négative en faisant du backbashing sur les Québécois pour se dire qu'eux aussi ont leurs Afros et leur Chicanos?<br /><br />L'indépendance du Québec, si nécessaire soit-elle, ce que je ne mets pas en doute, ne suffirait pas à sauver l'usage de la langue française si on ne lui accorde pas une importance autre que seulement cette généralité de l'identitaire. Il faut trouver maintenant en quoi elle est véhicule de cette identité. Nos auteurs littéraires ne sont pas lus par les élèves sauf sous pression, ce qui est une bien mauvaise façon de faire aimer une langue! Je m'étonnais toujours, dans les cafés, de voir tant de jeunes gens griffonner des poèmes ou des nouvelles alors que je ne les ai jamais vu lire un livre de poésie québécoise (Baudelaire, c'est bien, mais ce n'est pas québécois), qu'ils ignoraient les grandes pages de l'anthologie de la littérature québécoise, qu'ils ne se souciaient pas plus de comprendre l'évolution de cette langue et de cette culture. Refusant leur héritage, ces écrivains de café n'auront pas davantage d'héritiers, même s'ils publient un jour. Voilà comment la Barbarie finit par s'installer et par triompher dans le 'ournal de Mon'réal, La Presse et même le Devoir. Parce qu'elle ne véhicule plus rien d'autre que le vide, le vide des intelligences exsangues, le vide des esprits pervers, le vide des corps déshydratés. Une langue qui n'est plus que le véhicule du vide est assurément une langue sans avenir.<br /><br />Puisque l'indépendance ne semble pas être pour demain, l'urgence de la préservation de la langue française doit se traduire non par des formules creuses et platoniques, mais par une dynamique historique qui commence aujourd'hui, en meublant de contenus et de stylistique ceux qui apprennent à utiliser cette langue avec autant d'ardeur qu'ils en mettent à apprendre l'anglais. Si la langue forge la manière de penser, alors la pensée doit se réapproprier la langue plutôt que la laisser à des émotions hystériques et des sentiments puérils.Coupalhttps://www.blogger.com/profile/14839226309394850656noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-59954097779670410872013-02-20T20:15:57.578-08:002013-02-20T20:15:57.578-08:00Aux âmes bien nées,
la valeur n'attend point l...Aux âmes bien nées,<br />la valeur n'attend point le nombre des années.<br /><br />Ces vers de Corneille ne s'appliquent visiblement pas à P.K.P.Coupalhttps://www.blogger.com/profile/14839226309394850656noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-33980894785608672842013-02-20T15:33:33.022-08:002013-02-20T15:33:33.022-08:00Le bilinguisme collectif des minorités mène à une ...Le bilinguisme collectif des minorités mène à une assimilation lente et toute en douceur mais elle sera inexorable. Je vous invite fortement à prendre le temps nécessaire pour lire un excellent article du linguiste Paul Daoust. Ce linguiste rejoint un peu les propos de Christan Rioux du journal "Le devoir" celui-ci citait le journaliste Étienne Parent qui dès 1839 écrivit ceci:": « L’assimilation, sous le nouvel état de choses, se fera graduellement et sans secousse et sera d’autant plus prompte qu’on la laissera à son cours naturel et que les Canadiens français y seront conduits par leur propre intérêt, sans que leur amour-propre en soit trop blessé. » Le linguiste conclut que la meilleure arme pour éviter cette mort lente c'est de faire du Québec un pays. http://www.lautjournal.info/default.aspx?page=3&NewsId=4415Luc Grégoirehttps://www.facebook.com/luc.gregoire.100noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-43736208221630411052013-02-20T10:33:03.652-08:002013-02-20T10:33:03.652-08:00Pierre Péladeau avait promis a ses journalistes, q...Pierre Péladeau avait promis a ses journalistes, quand il a fondé le Journal de Montréal, qu'éventuellement ils seraient les mieux payés de l'industrie. Et il a tenu parole. Le fils a envoyé paître les journalistes de ce journal alors que son quotidien faisait de l'argent. Il faut dire qu'alors il était pressé de rembourser la dette liée à l'acquisition de Vidéotron (beaucoup trop cher payé) Selon un ex journaliste de ce journal que j'ai rencontré, Pierre Péladeau aimait les gens, malgré ses manières à première vue frustre. On ne peut en dire autsnt de PKP dont l'empire a été bâti en partie avec des fonds de la Caisse de Dépôt.<br />Je me souviens aussi de cette phrase de Pierre Péladeau adressée aux québécois à la veille du référendum de 1995: «N'ayez pas peur» Phrase qui l'honore.<br />DanielAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-91484287619397157112013-02-20T09:26:49.612-08:002013-02-20T09:26:49.612-08:00Je l'ignorais, car je ne suis pas un régulier ...Je l'ignorais, car je ne suis pas un régulier du 'ournal; preuve que la réalité dépasse la théorie!Coupalhttps://www.blogger.com/profile/14839226309394850656noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-77038496254579025462013-02-20T08:46:22.769-08:002013-02-20T08:46:22.769-08:00En fait, le Prof. Lauzon tient déjà un blog sur le...En fait, le Prof. Lauzon tient déjà un blog sur le site du Hournal. En tout, jusqu'à récemment(6 mois), je ne suis pas trop l'actualité de ce côté...Gomeuxhttps://www.blogger.com/profile/03716981146287586560noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-61682769400439276242013-02-20T08:31:47.888-08:002013-02-20T08:31:47.888-08:00Oui, Daniel, je l'ai d'ailleurs signalé da...Oui, Daniel, je l'ai d'ailleurs signalé dans l'un des derniers paragraphes du texte. Le rapport de Pierre Péladeau à la culture était très différent de celui de son rejeton. C'était le rapport des Canadiens Français d'avant la Révolution tranquille. Une culture générale, plus ou moins acquise de manière autodidacte; une ornementation ostentatoire, comme lorsqu'il se faisait filmer devant la collection de la Pléiade, assis à son bureau, pour une pub de Radio-Canada. Fiston, lui, a le rapport des Québécois à la culture : technocratique et honteux. Il a fait des études universitaires dans un de ces domaines de «savoir inutile», la philosophie, s'est pris pour un marxiste ne serait-ce que pour écœurer popa et vit maintenant de l'anti-intellectualisme forcené d'un courant de droite. Est-il inculte comparé à popa? Non. Mais sa culture n'est pas un «signe» de mise en valeur, et, si ça se trouve, elle est une gêne qu'il vaut mieux refouler dans le placard avant que Julie s'en aperçoive. Cet ancien communiste des Foufounes électriques est devenu un capitaliste borné, comme ses adversaires trotskystes d'antan, Alain Dubuc et Gilles Duceppe. Un capitaliste forcené même, si l'on se rappelle - ce que l'on a déjà oublié, semble-t-il -, comment il a fait la guerre à ses employés du journal voilà deux ans. Comment s'étonner qu'il engage des chroniqueurs de droite? Si le prof. Lauzon, avec son humorisme économiste ou son économisme humoristique fait succès, l'engagera-t-il sûrement pour tenir une bande économique dans Le 'ournal de Mon'réal? Au Québec, tout est possible tant tous virent capots…Coupalhttps://www.blogger.com/profile/14839226309394850656noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-5571261175540252702013-02-20T07:23:09.002-08:002013-02-20T07:23:09.002-08:00Je m'éloigne un peu du sujet; PKP n'est pa...Je m'éloigne un peu du sujet; PKP n'est pas Pierre Péladeau. Ce dernier dans le temps aurait pu faire fermer Le Devoir parce que ce journal n'arrivait pas à payer ses frais d'imprimerie à Québecor. Il a été magnanime et je crois qu'il comprenait la nécessité d'un journal comme Le Devoir. De plus de son vivant, le Journal de Montréal ne pullulait pas de chroniqueurs de droite comme c'est le cas maintenant.<br />Denise Bombardier: oui une vieillesse à l'eau bénite...<br />DanielAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-67352830864362080382013-02-19T14:27:46.836-08:002013-02-19T14:27:46.836-08:00Je vous remercie de votre réponse, j'abonde to...Je vous remercie de votre réponse, j'abonde tout à fait dans le même sens que vous. Une chose m'a échappé cependant, il est vrai que "Le Devoir" est renfloué par Québécor.Luc Grégoirehttps://www.facebook.com/luc.gregoire.100noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-74090929162559522192013-02-19T13:33:53.184-08:002013-02-19T13:33:53.184-08:00C'était une transition bien douce puisque c...C'était une transition bien douce puisque c'est Québécor qui paie la publication du Devoir que le père Péladeau avait tiré in-extremis de la faillite. Ce fut plus «tragique» lorsqu'elle perdit son job à Star Académie, au point de se rendre à Tout le monde en parle et en «quêter» un autre à Radio-Canada, qui se souvient sans doute trop des montants payés pour la défense de Mme Bombardier lors des procès qui lui ont été adressés pour diffamation.<br /><br />Mme Bombardier, comme le pape, se préoccupe exagérément de la morale sexuelle au détriment de la morale sociale. Il y a un relent d'«une enfance à l'eau bénite» (titre de son premier roman) qui revient constamment dans ses interventions, comme si le touche-pipi était à la base de la corruption dans le monde de la construction, des revendication étudiantes du «printemps érable», des assistés sociaux, etc. etc.! Ce monisme est la preuve que «l'analyse» ne part pas de la connaissance de l'objet étudié, mais de la projection du sujet par «quelque chose» qui fait obsession : son reniement ou sa trahison de la société pré-Révolution tranquille. Elle, que je voyais dans les années 70-80 animer Noir sur Blanc, une émission d'information assez potable comme on en imagine plus aujourd'hui, y affrontait le cardinal Léger sur la sécularisation de l'éducation. Pour une mentalité «pré-moderne», c'était une transgression difficile, voire courageuse. Puis, elle s'est retrouvée, un jour, sur un plateau de télé français et là, sa tête s'est mise à enfler (et je ne parle pas de sa coiffure) au-delà de ses capacités. Quand le tout a éclaté, elle est devenue ce que tu vois : «jeune catin, vieille dévote». Comme les anciens cathos, elle joue l'ordre contre la révolte, la soumission contre la désobéissance, les valeurs traditionnelles (lesquelles?) contre une modernité qui se cherche, la sagesse (qu'elle n'a pas) contre la spontanéité (qui la dépasse), etc. Avant d'être une affaire des États, gérer sa propre décadence est le premier souci de ces «Enfants trouvés» issus de l'aristocratie française et essaimés le long du Saint-Laurent depuis trois siècles, qui voient venir la décrépitude, la sénilité, l'alzheimer (peut-être), la mort (sûrement).<br /><br />En observant bien les autres Barbares, on pourrait trouver des scenarii semblables (trahison des valeurs de la Révolution tranquille? reniement d'une période de militance d'extrême-gauche? le passage de l'indépendantisme au fédéralisme? Leurs divagations trahies parfois la source de leurs démons intérieurs. Ce serait-là, peut-être, la source d'un nouveau jeu électronique…Coupalhttps://www.blogger.com/profile/14839226309394850656noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-69168016120360891752013-02-19T12:52:30.740-08:002013-02-19T12:52:30.740-08:00J'en peux plus de lire ces faux intellectuels ...J'en peux plus de lire ces faux intellectuels québécois qui ont remplacé nos curés d'autrefois, ces mêmes acteurs de la "révolution tranquille! «ou de la génération subséquente qui se sont recyclés dans les médias pour faire la morale à une... jeunesse beaucoup moins nombreuse qu'auparavant mais beaucoup plus au fait des enjeux modernes. Nous ne vivons plus maintenant une révolution tranquille mais plutôt une "involution agressive" Denise Bombardier est la parfaite représentante de nos nouveaux curés. Dernièrement je lui écrivais <br />ceci: " Mme Bombardier au Journal de Montréal?? À vrai dire, Mme Bombardier vient peut-être de se rendre compte sur le tard que ce journal est le canal tout désigné pour elle pour exprimer ses frustrations et ses états d’âme. Bon choix Mme Bombardier, vous n’étiez plus à votre place (et à vrai dire vous ne l’avez jamais été)dans le monde des intellectuels. L’analyse vous a toujours fait défaut mais tout comme vos futurs collègues chroniqueurs, ce médium vous servira du moins à vous déchargez d’un trop plein de rancœurs et de frustrations. " Les enfants gâtés et tout le bla bla bla, ras-le-bol! Le printemps érable n'avait pas du tout la même connotation que la révolution tranquille des années 60, à cette époque les questions morales étaient beaucoup plus à l'avant-plan, aujourd'hui le débat est beaucoup plus devenu une question de priorité sociale et économique. Ras-le -bol de nos nouveaux curés chroniqueurs ! Mme Bombardier a quitté « Le Devoir « le seul journal indépendant et qui a beaucoup de peines à survivre pour aller rejoindre l’empire « Québécor ». Bon on peut penser que son livre sur sa vie amoureuse ne rapporte pas beaucoup, ce qui n’intéresse pas grand monde d’ailleurs, mais que « Québécor » lui donne une bonne occasion de se renflouer et ce qui n’est pas négligeable une meilleure visibilité qu’un journal comme « Le Devoir ».Luc Grégoirehttps://www.facebook.com/luc.gregoire.100noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-82439511833445613362013-02-19T09:46:23.531-08:002013-02-19T09:46:23.531-08:00Loose canons, en anglais, est parfait. Surtout si ...Loose canons, en anglais, est parfait. Surtout si on les met en face de leurs vis-à-vis de La Presse, oui, ce sont bien des loose canons. Le 'ournal de Mon'réal est bon pour récupérer les «rejects» : Tremblay venu de La Presse; Bombardier chassée de Radio-Canada pour ses nombreux procès contre des auteurs qu'elle accusait de pédophilie; Fournier, également de Radio-Canada, pour avoir parler des ses excitations érotico-anales à micro ouvert, enfin Georges-Hébert Germain, gyrovague et biographe autorisé de Celine. Bien peu de sang noble dans tout cela. Des réputations surfaites par des effets médiatiques. Des diplômes en journalisme acquis sur le coin d'une table de cafétéria ou achetés à gros pris. Bombardier sorbonnarde, c'est déjà un cadavre exquis en soi, non?Coupalhttps://www.blogger.com/profile/14839226309394850656noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-13230274915346011182013-02-19T09:03:53.886-08:002013-02-19T09:03:53.886-08:00Excellent. J'ai besoin de me replonger dans l&...Excellent. J'ai besoin de me replonger dans l'éthymologie profondes des choses. <br /><br />On ne pourrait pas opter pour le terme «Canons Lousses»?<br />C'est évidemment un dérivé de Loose canon, mais en le joualisant comme ça, ça prend une vague connotation ridicule. Le canon lousse, slack, qui tire tout croche, sur tout.<br />Ce qui leur sied à merveille, évidemment.<br />Des Canons Lousses, planqués.<br />Gomeuxhttps://www.blogger.com/profile/03716981146287586560noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-47919344008901518202013-02-19T09:00:08.872-08:002013-02-19T09:00:08.872-08:00Je vous remercie, M. Hudon. Évidemment, comparer «...Je vous remercie, M. Hudon. Évidemment, comparer «la dynastie» au pouvoir au Québec depuis un demi-siècle avec les perfidies des rivalités dynastiques du temps des Rois maudits a une saveur toute shakespearienne qu'il faudra un jour penser à exploiter dramatiquement.<br /><br />Mon sentiment envers la civilisation occidentale n'est cependant pas aussi tranché que la vôtre. Jadis les Français désignaient la «Perfide Albion» avant qu'ils ne deviennent alliés des Britanniques. La source de cette perfidie m'intéresse davantage. La régression haineuse de la civilisation occidentale m'apparaît provenir de ce conflit honteux, lorsque la Chrétienté occidentale a trahi la confiance, pillé et détruit Byzance, la Chrétienté orientale, lors de la prise de Constantinople par les croisés, en 1204. Les deux siècles qui suivirent virent se mettre en place un processus de psychologie collective dit «d'agression défensive» - le même argument prêché par G. W. Bush pour attaquer l'Irak -, et que la prise de Constantinople par les Turcs en 1453 a fondu dans un souvenir-écran, 1453 cachant 1204 et cristallisant du même coup la «modernité» (La Renaissance, la Réforme, plus tard les Révolutions française et industrielle, etc.). De là aussi, notre impérialisme, notre expansion colonisatrice des autres cultures, ou lorsqu'il s'agissait tout simplement de les détruire. C'est une structure régressive basée sur la haine - haine de l'Autre et haine de soi confondues - qui, depuis 1860, s'accélère à un rythme toujours plus effréné. Tout cela ne cache pas pourtant les grandes réalisations de l'Occident, et c'est pour cela que je cultive - que nous cultivons tous je crois - une relation d'amour/haine avec lui.Coupalhttps://www.blogger.com/profile/14839226309394850656noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-84330834138445087362013-02-19T08:44:25.674-08:002013-02-19T08:44:25.674-08:00Merci, Gomeux. J'espère qu'à la longue je ...Merci, Gomeux. J'espère qu'à la longue je ne te décevrai pas trop! Ces Barbares à plumes - j'apprécie ta trouvaille ornithologique - ne méritent toutefois pas le terme de «polémistes» car la polémique - du grec polémos qui signifie guerre, ici de mots - ne sont ni des aviateurs (ça ne vole pas haut), ni des marines (ça coule avant de flotter), ni des artilleurs (ils tirent sur tout ce qui bouge y compris dans leurs propres pieds), et encore moins des fantassins (ils sont lâches et fuient, précisément, toutes «polémiques» pour ne se contenter que de positions de principes brandies comme des étendards autoproclamés. Ils ne pratiquent ni la guerre offensive - la seule qui aurait des chances de succès - ni la guerre défensive - qui serait une forme de résistance une fois vaincus. Ce sont des planqués dans une guerre de position. Recouverts de teflon, ils sont imperméables àtout argumentaire qui dépasse leur niveau de formation journalistique de broches à foin.Coupalhttps://www.blogger.com/profile/14839226309394850656noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-20379711218365314362013-02-19T06:37:44.831-08:002013-02-19T06:37:44.831-08:00Excellent texte! Je découvre votre blogue, il fait...Excellent texte! Je découvre votre blogue, il fait bon y lire, vous me reverrez passer.<br />Quant à l'épineuse question de la catégorisation de ces barbares à plumes, je crois que nous avons atteint le stade où le terme «polémiste» n'est plus un adjectif mais bel et bien une raison d'être, une profession.<br />Le meilleur remède reste encore de se priver de ces lectures, puisqu'Ils carburent à l'attention que nous leur portons...Gomeuxhttps://www.blogger.com/profile/03716981146287586560noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-44930537201266869742013-02-19T06:31:42.467-08:002013-02-19T06:31:42.467-08:00la dynastie au pouvoir dans notre province d'o...la dynastie au pouvoir dans notre province d'occident, dès l'aube de la révolution tranquille, a su effectuer les feintes et les parades nécessaires à sa survie.<br /><br />l'infiltration, le noyautage d'assemblée, la déviation de courant politique, la réorientation de groupe révolutionnaire, ... font parti des outils précieux des dynasties qui dirigent cet atroce occident. une perfide civilisation qui tire ses traditions d'une sombre époque dont nous avons un écho dans "les rois maudits". <br /><br />cette dynastie agonise et doit prendre des mesures extrêmes pour assurer sa survie compromise par l'éveil des peuples. <br /><br />merci, Jean-Paul, de participer à cet éveil. <br />Anonymoushttps://www.blogger.com/profile/07083095347904389906noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-56978048101327219452013-02-18T22:38:46.669-08:002013-02-18T22:38:46.669-08:00Sont-ils des journalistes? Ils n'ont rien à no...Sont-ils des journalistes? Ils n'ont rien à nous apprendre plus que ce que nous savons déjà… Ce ne sont tout de même pas des Pierre Gravel quand même. Sont-ils des chroniqueurs? Ce ne sont que des humeurs, comme ici. Où sont les lapsi quand deux métiers, deux approches en viennent à se confondre autant? Je m'étonne, cher anonyme non Anonymus que vous ne vous en soyez pas aperçu. Peut-être ne lisez-vous que d'un œil de peur qu'avec les deux yeux, vous sentiez votre vue s'embrouiller?Coupalhttps://www.blogger.com/profile/14839226309394850656noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2098879903331634540.post-71194018080535786762013-02-18T22:26:15.360-08:002013-02-18T22:26:15.360-08:00En complément à cet excellent texte je propose un...En complément à cet excellent texte je propose un visionement plus léger, mais tout aussi instructif. Une parodie d'un autre ''lologue'' suisse : oscar Freysinger par Yann lambielndisponible sur YouTube. Titre du sketch : les bananes bleues ! Amisez-vous !Etiennenoreply@blogger.com